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WHO European Regional Obesity Report 2022

L'obésité est une maladie multifactorielle complexe définie par une adiposité excessive. un risque accru pour de nombreuses maladies non transmissibles (MNT). Le surpoids et l'obésité touchent près de 60 % des adultes et près d'un enfant sur trois (29 % des garçons et 27 % des filles) dans la Région européenne de l'OMS. Selon des estimations récentes, la surcharge pondérale et l'obésité sont le quatrième facteur de risque de MNT le plus courant dans la Région, après l'hypertension artérielle, les risques alimentaires et le tabac. Il s'agit également du principal facteur de risque d'invalidité, puisqu'il est à l'origine de 7 % des 7 % du nombre total d'années vécues avec un handicap, et l'obésité est liée à une morbidité et à une mortalité accrues. de COVID-19. Les premières études réalisées dans un certain nombre de pays de la Région indiquent que la prévalence du surpoids et de l'obésité et/ou l'indice de masse corporelle moyen ont augmenté chez les enfants et les adolescents pendant la pandémie de COVID-19. Le présent rapport examine le défi et l'impact croissants de l'obésité dans la Région, en s'appuyant sur des publications antérieures et s'aligne sur les initiatives de lutte contre le cancer. Le rapport se concentre sur la gestion de l'obésité tout au long de la vie et la lutte contre les environnements obésogènes. Il examine également des défis plus récents, notamment le marketing numérique problématique auprès des enfants et l'impact de la pandémie du COVID-19 sur la prévalence de l'obésité. Des options politiques visant à prévenir l'obésité sont présentées pour examen par les États membres, ainsi qu'une série d'approches au niveau de la population. Le rapport souligne l'importance d'inclure la prévention et le contrôle de l'obésité dans les mesures visant à mieux reconstruire après la crise. mesures visant à mieux reconstruire après la pandémie de COVID-19. La lutte contre l'obésité est essentielle à la réalisation des objectifs de développement durable et constitue une priorité du Programme de travail européen 2020-2025 : Une action unie pour une meilleure santé.

Implementation of the EU Salt Reduction Framework

In September 2008, the European Commission invited the High Level Group members to inform on their on-going or planned national salt reduction initiatives. All EU Member States, Norway and Switzerland responded to the survey. On 21 October 2009, the European Commission organised a seminar on salt reduction in bread, including technical, taste and other parameters for healthy eating; inviting national and EU level bakery associations. The International Federation of Plant Bakeries (AIBI) signaled that it was willing to be a partner in salt reduction initiatives. Within the Salt Framework, it was agreed that by the end of 2009, participating Member States would provide a first evaluation and monitoring report to the Commission. In order to gather this information, the Directorate-General for Health and Consumers of the European Commission sent out questionnaires early 2010 to assess such data and information. The results of this survey were set out in a report published in the beginning of 2012. On 8 June 2010, the Employment, Social Policy, Health and Consumer Affairs Council adopted Conclusions on action to reduce population salt intake for better health. Following the mandate of the Council to analyse the situation and actions taken in the EU and its Member States and report the findings in 2012, the Commission compiled this report. By updating the first report that covered the first one and a half years of the Framework, the present report covers the entire time span – 4 years – of the Framework, from mid-2008 until mid-2012.

Santé 2020 : une stratégie et un cadre politique européens pour le XXIe siècle

En 2012, le Comité régional de l’OMS pour l’Europe a approuvé Santé 2020 sous deux formats d’ailleurs réunis dans cette publication. La version courte de Santé 2020 présente aux responsables politiques européens ses principaux principes et ses valeurs essentielles, et prodigue d’importants conseils stratégiques en vue d’appuyer l’action pour la santé et le bien-être. La version longue fournit davantage de détails en termes de bases factuelles et de pratiques.Le cadre politique vise deux objectifs stratégiques qui s’articulent autour de l’équité, de l’égalité entre les sexes et des droits de la personne, et de l’amélioration de la gouvernance pour la santé. Il s’adresse à tous ceux qui se sont engagés à améliorer la santé, le bien-être et l’équité en santé, en tenant compte de la situation ainsi que du contexte politique et organisationnel de chaque pays. Il s’agit d’un guide concret et dynamique pour l’élaboration de politiques et de stratégies. La réponse à ces questions ressort autant du domaine politique que du domaine scientifique, et Santé 2020 met fortement en évidence l’engagement politique, ainsi que les compétences professionnelles et la participation de la société civile. Axé sur les « solutions », il présente des options stratégiques à la fois pratiques et réalisables, quoique souples, capables politiquement d’être appliquées effacement dans le contexte particulier de chaque pays.

Oui, j'allaite encore!

La protection, la promotion et le soutien de l’allaitement maternel sont des priorités de santé publique. L’OMS recommande l’allaitement maternel exclusif pendant les six premiers mois de la vie et la continuation de l’allaitement jusqu’à l’âge de 2 ans et au-delà pour favoriser d’une manière optimale la croissance, le développement et la santé de l’enfant. Le Ministère de la Santé du GD de Luxembourg s’est rallié aux recommandations de l’OMS et les promeut par l’élaboration d’un programme de « Politique Nationale pour protéger, promouvoir et soutenir l’allaitement maternel » signée en 2006, et des plans d’action couvrant la période 2006-2010 et actuellement la période 2011-15, ciblant particulièrement la promotion de l’allaitement prolongé pour tous les bébés de notre pays. « Promouvoir l’allaitement maternel, c’est promouvoir la santé de l’enfant ». Les données sur l’allaitement maternel au Luxembourg (étude ALBA 2008) montrent que beaucoup de mères ont reconnu les bienfaits du lait maternel pour leur bébé, puisque pratiquement 90% décident de l’allaiter à la naissance. Malheureusement ce pourcentage diminue rapidement avec l’âge du bébé. A 4 mois, seulement 45% des mères continuent d’allaiter et à 6 mois ce pourcentage tombe à 41%. Les raisons avancées pour un arrêt précoce sont multiples : faible degré de confiance dans leur capacité d’allaiter (peur de « manquer de lait »), la reprise d’activité professionnelle, des problèmes de seins, manque d’une approche concertée et complémentaire entre les professionnels de la santé en charge du suivi du nourrisson, une situation socio-économique difficile ou des conditions de travail peu favorables